Les traitements les plus courants aux paupières supérieures consistent dans l’enlèvement de la peau excédentaire et du repositionnement ou l'excision de la graisse saillante.
À l'exception de la constitution physique extrême-orientale n, il y a chez la plûpart des gens une ride bien démarquée sur la paupière supérieure, située de 3 à 8 mm du bord. La peau en-dessous est, dans le meilleur des cas, fermement attachée aux couches plus profondes. Au-dessus, la peau est détachée pour qu'elle puisse s’enrouler lorsqu’on ouvre les yeux.
Lors du vieillissement la peau qui était attachée auparavant à tendance à glisser en bas et, eventuellement, à se reposer sur les cils. Si ce poids devient lourd, cela peut entraîner une perception de fatique des paupières et une diminution de la vue.
Lors d’une correction, l'incision est prévue dans la ride principale naturelle et dans une deuxième ligne au-dessus. Dans le cas ou la peau en-dessous de la ligne d'incision doit être rattachée chirurgicalement aux tissus plus profonds, l'opération devient un peu plus complexe.
Bien que cette opération soit souvent effectuée pour traiter des problèmes fonctionnels, l'intervention par les mutuelles Belges est très limitée aux cas très prononcés selons des critères stricts.
La première et la dernière image des animations suivantes sont des photos "avant" et "après". La transition est une construction digitale. Après une blépharoplastie supérieure, le regard est souvent plus relaxe, parce que les sourcils ne doivent plus être élevés pour voir bien.
Parfois les sourcils tombants contribuent de façon signifiante à l'apparent excédent de peau sur les paupières. Le cas échéant, un lifting des sourcils avec des fils de suspension ou par excision directe de peau peut être associé à la blépharoplastie.
Pour les cas mineurs, un lifting des sourcils par induction de chaleur en-dessous de la peau ("radiofréquence endodermale", non-chirurgical) peu être considéré.
